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Plusieurs journalistes ont été pris à partie alors qu’ils couvraient les élections législatives. RSF condamne ces actes violents et demande aux autorités libanaises d’ouvrir une enquête et de mettre fin à l'impunité des crimes contre les journalistes.

Station de radio attaquée, reporter et caméraman arrêtés, journaliste agressé… En seulement deux semaines, Reporters sans frontières (RSF) a recensé plusieurs graves atteintes à la liberté de la presse.

RSF appelle les autorités bangladaises à faire la lumière sur cette affaire et à mettre fin à l’impunité des crimes contre les journalistes.

Deux mois après son lancement à Lviv, le Centre de la liberté de la presse de Reporters sans frontières (RSF) s’implante à Kyiv (Kiev) pour développer ses diverses activités de soutien aux journalistes.

Irina Danilovitch a été enlevée le 29 avril et maintenue dans un lieu inconnu, sans accès à son avocat qui n’avait pas connaissance des raisons de sa détention.

En Guinée, un journaliste en reportage a été conduit à l’hôpital après avoir été pris à partie et violemment agressé par plusieurs militaires mardi 10 mai.

Dans les régions occupées d'Ukraine, les soldats russes dressent des “listes de personnalités locales à kidnapper” et sont à la recherche des journalistes pour les forcer à collaborer ou les faire taire.

Alors que le procès du journaliste Pape Malick Thiam de la chaîne de télévision 7TV s’ouvre demain au Sénégal, RSF demande l’abandon de toutes les charges retenues contre lui et appelle les responsables des forces de sécurité à privilégier le dialogue.

Désireuses de ne pas froisser leur voisin russe, les autorités des cinq républiques d’Asie centrale mettent sous pression les médias pour couvrir de manière “neutre” ou ignorer l’invasion russe en Ukraine.